Equipe de France A

Rappel du premier message :

Le côté d'Evra était un vrai boulevard :black eye:
Cette équipe de France me fait plus rien ... c'est dur à expliquer mais je ressens plus rien quand je la regarde.

Un belle partie de merde, mais putain je le kiffe de plus en plus ce Savidan :hi: .

À côté des boîtes à rythme en culottes courtes, ENFIN un mec qui a de l'intuition (et de l'audace) dans son jeu. Ciseaux, contrôle à la Basten, petit pont sur le chevelu uruguyen, etc. Pas étonnant que des gros clubs européens veuillent le choper.
Écoute le Belge, RLD.

Sinon Evra grosse déception et Toulalan à la ramasse. Putain Cheyrou frais de goût, faut qu'il ait sa chance lui aussi. Incrociamo le dita :dance3:

Voyageur a écrit:Un belle partie de merde, mais putain je le kiffe de plus en plus ce Savidan :hi: .

À côté des boîtes à rythme en culottes courtes, ENFIN un mec qui a de l'intuition (et de l'audace) dans son jeu. Ciseaux, contrôle à la Basten, petit pont sur le chevelu uruguyen, etc. Pas étonnant que des gros clubs européens veuillent le choper.
Écoute le Belge, RLD.

Sinon Evra grosse déception et Toulalan à la ramasse. Putain Cheyrou frais de goût, faut qu'il ait sa chance lui aussi. Incrociamo le dita :dance3:

T'es en train de nous pondre une névrose sur Savidan l'ami,ça va c'est un bon joueur,mais c'est pas un phénoméne non plus. :circle:

Un seul mot sur cette rencontre: 10€ pour aller voir jouer l'EDF c'est encore trop...

shura a écrit:Un seul mot sur cette rencontre: 10€ pour aller voir jouer l'EDF c'est encore trop...

Rho l'arnaque c'est 2 kebabs frites

Pharell13 a écrit:

Voyageur a écrit:Un belle partie de merde, mais putain je le kiffe de plus en plus ce Savidan :hi: .

À côté des boîtes à rythme en culottes courtes, ENFIN un mec qui a de l'intuition (et de l'audace) dans son jeu. Ciseaux, contrôle à la Basten, petit pont sur le chevelu uruguyen, etc. Pas étonnant que des gros clubs européens veuillent le choper.
Écoute le Belge, RLD.

Sinon Evra grosse déception et Toulalan à la ramasse. Putain Cheyrou frais de goût, faut qu'il ait sa chance lui aussi. Incrociamo le dita :dance3:

T'es en train de nous pondre une névrose sur Savidan l'ami,ça va c'est un bon joueur,mais c'est pas un phénoméne non plus. :circle:

Salut poto :hi: ,

Bah je reconnais et j'applaudis au talent, tout simplement.

Le mec, ce n'est pas juste un brave « bon » joueur de L1, il est largement au-dessus et je le dis tout de go. En plus en dehors de l'envie (que tout joueur pro digne de ce nom devrait avoir), il a montré deux choses rares : la justesse et l'intelligence du jeu. Il n'a pas planté, mais je demande à voir avec un temps de jeu égal à d'autres attaquants. Il n'y a que le factuel qui compte.

Aujourd'hui, Papin et Justo ont dit des choses très élogieuses sur Savidan, je partage complètement. Petite maraude sur les fofos ritals

Foot - Bleus - Les révélations de Gallas

William Gallas confirme dans son autobiographie à paraître aujourd'hui aux Editions du Moment certaines tensions apparues lors du dernier Euro. Le défenseur d'Arsenal revient notamment sur l'épisode du bus où un jeune Bleu avait pris la place de Thierry Henry. Il révèle avoir lui aussi eu «un petit accrochage» avec ce même joueur. «Un coup de sang», comme il le raconte.

«Nous voilà en plein entraînement, des petits jeux, comme souvent. On me transmet le ballon, je ne vois pas qui est derrière moi. (...) Si ton coéquipier te dit "ça arrive", tu sais tout de suite que tu dois la jouer en retrait. Et là, il ne dit rien ! (...) Un adversaire surgit et spontanément, je crie : "Mais parlez les gars, donnez-moi l'information !" Un des deux en face de moi se tait, l'autre me lance : "T'as qu'à prendre l'information avant, t'as qu'à le savoir toi même !"»

«Moi aussi, j'ai eu vingt ans, poursuit Gallas. Jamais je ne me serais permis de parler sur ce ton à un joueur plus âgé que moi. (...) Les jeunes de cet Euro semblent culottés, très sûrs d'eux. Ils pensent tout connaître, mais ils ne savent rien. (...) Face à son mépris, je hausse le ton.

Le jeune joueur : "Baisse le ton, parle mois fort.

- Comment tu me parles ? Pour qui tu te prends ? T'as que vingt ans, je ne suis pas ton ami.

- Moi non plus, je ne suis pas ton ami !"»

Gallas explique que par la suite le joueur concerné a fini par reconnaître ses torts. Il ne souhaitait pas citer de nom dans son autobiographie, mais comme L'Equipe le révélait juste après l'Euro, la personne mise en cause dans l'incident du bus n'était autre que Samir Nasri, qui est depuis devenu son équipier à Arsenal. D'une manière générale, l'international français reproche à la nouvelle génération de ne pas être assez respectueuse. En club, comme en sélection.


Je pensais que c'etait benzema , du coup je suis déçu par Samir

Pareil que toi pendant que je lisais je pensais à Benzema.

Archi archi archi déçu ....

Surtout que c'est pas du tout dans sa personnalité

Wenger l'a dit aussi à demi mot en début de saison.

Et puis ça expliquerait le traitement réservé à Nasri par Domenech pendant et depuis l'Euro.

Foot - ANG - Arsenal - Gallas écarté (presse)

Selon une information de francefootball.fr, vendredi, William Gallas a été mis à l'écart pour le déplacement d'Arsenal à Manchester City, samedi (16h00). En outre, Arsène Wenger, le manager des Gunners, ne souhaiterait plus que l'international français porte le brassard et pourrait le confier à Manuel Almunia, le gardien de but, ou à Gaël Clichy, le latéral gauche français. Après un entretien avec le manger français et un entraînement de son équipe tendu selon des témoins, Gallas (photo L'Equipe) est rentré chez lui sans monter dans le bus qui conduisait l'équipe vers l'aéroport. Une amende doit être infligée au défenseur des Bleus. Mais c'est désormais son avenir chez les Gunners qui est en question alors qu'approche le marché des transferts hivernal et que le joueur a expliqué (à l'Evening Standard ce vendredi) son envie de terminer sa carrière en France, «mais pas n'importe où : Lyon, Marseille, Paris, ou peut-être Bordeaux».

William Gallas paie les attaques contre les jeunes joueurs d'Arsenal, contenues dans son autobiographie parue ce vendredi et une interview à l'agence Associated Press diffusée jeudi. Il a notamment déclaré à AP : «Les jeunes de Manchester ont vécu quelque chose, gagné quelque chose. Ce n'est pas certain que les jeunes d'Arsenal gagneront quelque chose». La presse ne l'a pas loupé : le Daily Telegraph le surnomme «le pleurnicheur en série» quand l'Evening Standard a écrit «Gallas joue un rôle leader dans la déchéance d'Arsenal».

Je le mets là plutôt que dans le topic "Premier League", car on a commencé à en parler ici.

Une association Gallas Hilton je ne dis pas non

Tammat a écrit:Une association Gallas Hilton je ne dis pas non

Pareil, je signe de suite.

Gallas ca me ferait vraiment bander , mais niveau salaire j'y crois pas trop

Tammat a écrit:Une association Gallas Hilton je ne dis pas non

gallas-hilton chercher l'intru :béb:

Frey dérape...





Pas sûr que Sébastien Frey, William Gallas et Lassana Diarra partent en vacances ensemble... (Reuters)

Excellent gardien de but jamais vraiment récompensé par les honneurs de la sélection nationale, Sébastien Frey est un joueur de football atypique qui bénéficiait jusqu'à présent d'un capital sympathie important auprès des amateurs de football. La donne risque de changer pour l'ancien portier de l'AS Cannes puisque ce dernier s'est livré à de drôles de confessions. Interrogé par Sportweek sur le thème de l'immigration, Frey fait part d'une opinion qui ne devrait pas passer inaperçue avant d'évoquer la couleur de peau des Bleus ou encore de féliciter Silvio Berlusconi pour son travail...


Parti rejoindre l'Italie il y a maintenant dix ans, Sébastien Frey est une valeur sûre de Serie A. Dernier rempart indéboulonnable de la Fiorentina depuis trois saisons, le natif de Thonon-les-Bains est un homme discret, peu habitué à se répandre dans les médias.

Ce samedi pourrait donc marquer un tournant dans la carrière du gardien de but puisque dans un long entretien accordé au supplément week-end de La Gazzetta dello Sport, Sportweek, le joueur de la Viola parle de football, mais pas seulement. Interrogé sur des thématiques sociales et politiques, Frey se fait remarquer pour sa réponse à la question "à quel niveau sommes-nous, en Italie comme en France, sur le chemin de l'intégration raciale ?" "Au point mort puisque tant en France qu'en Italie, nous n'avons pas fixé de limites et de règles sûres. C'est une chose qui devait être faite il y a plusieurs années", estime Frey, avant de raconter une anecdote troublante. "J'ai une maison sur les hauteurs de Nice et, le soir, j'ai peur de descendre en ville parce que circulent, sur les routes, des bandes qui font peur", assure le gardien de but.

"Les Noirs sont sûrement les plus forts, mais..."

Si de telles déclarations devraient ravir Christian Estrosi, maire de la ville, l'homme politique ne devrait pas être le seul à reconsidérer Sébastien Frey. International à deux reprises avant d'annoncer son
intention de rester éloigné des Bleus, le 21 août dernier, le portier, à l'instar de Jean-Marie Le Pen ou de Georges Frêche avant lui, évoque la question raciale en équipe de France: "L'équipe de France: elle est désormais composée presque uniquement de Noirs. Ce sont sûrement les plus forts, mais..."

Peu avare en déclarations fortes, le joueur de 28 ans passé par l'Inter Milan poursuit dans le registre droite décomplexée en évoquant ensuite le président de l'autre club milanais, Silvio Berlusconi, accessoirement président du Conseil italien, dans une comparaison avec Nicolas Sarkozy: "Notre président a envoyé aux Français des signaux encourageants de changement. Les sondages le donnent en baisse, mais je suis sûr qu'il est l'homme juste pour mon pays. C'est la même chose concernant Berlusconi pour l'Italie: en ce moment, je ne crois pas que vous pourriez faire sans lui". Une chose est sûre, l'équipe de France et ses nombreux talents issus de l'immigration feront sans toi...

www.football.fr

Ouais bon ben pour moi ce mec n'existe plus...

+1

En même temps il n'a jamais existé

C'est qui lui?

La parole à l'accusé!


Sébastien Frey n'a pas pour habitude de
s'étendre dans les journaux. Mais le gardien de la Fiorentina a appelé
« Le 10 Sport » hier. Il souhaitait préciser sa pensée suite à un
article du quotidien « L'Equipe » qu'il juge malhonnête.

Sébastien,
on peut vous lire depuis hier dans un entretien de six pages à «
Sportweek », le supplément de la « Gazzetta dello Sport ». Vous
apparaissez heureux chez vous à Florence aux côtés de vos deux enfants
et de votre épouse. Mais vous souhaitez réagir à ce qui a été rapporté
samedi à ce propos dans « L'Equipe »

…Oui, parce que ce sont
des propos sortis de leur contexte. Quand je dis que l'équipe de France
est désormais presque uniquement composée de Noirs, c'est vrai. Ils
sont sûrement plus forts. Je m'arrête là. Il n'y a jamais ce fameux
«mais…» à la fin de ma phrase, et qui est lourd de conséquences. Ce
sont quatre lignes sur six pages d'entretien qui posent problème. En
plus, chez les Bleus, mes meilleurs potes sont les deux Pat (Vieira et
Evra), Tutu (Thuram), Titi (Henry), Claude (Makelele), etc. Demandez
aussi à Papa Waïgo (attaquant sénégalais de la Fiorentina) si ce n'est
pas mon pote. Mes amis me connaissent et savent qui je suis. On peut
dire ce qu'on veut de moi sur le terrain, que je suis bon ou nul, peu
importe. Mais je ne supporte pas que le grand public puisse avoir une
fausse opinion de moi. Ça, je ne l'accepte pas.

Vous dites
aussi : «J'ai une maison sur les hauteurs de Nice et, le soir, j'ai
peur de descendre en ville parce que circulent, sur les routes, des
bandes qui font peur.» Vous comprenez que ça puisse choquer ?
Là
aussi cela a été sorti du contexte. Mes parents habitaient Carros. J'ai
grandi avec des Noirs et des Maghrébins pendant des années. Je jouais
tout le temps avec eux. C'est scandaleux d'avoir fait ça. Une telle
incompétence, une telle méchanceté, c'est dingue. En Italie aussi ça
peut craindre le soir, il y a des Roumains. A chaque grande ville ses
problèmes de sécurité. J'ai seulement eu une réaction de père de
famille. C'est tout !

Au sujet de Nicolas Sarkozy vous avez aussi votre opinion

…Oui. Je pense qu'il peut aider la France. Point barre. Il n'est ni catastrophique, ni super.

Vous êtes toujours supporter des Bleus ?

Bien sûr ! Je leur souhaite les meilleurs résultats possibles pour leurs prochaines rencontres.


http://football.le10sport.com/foot-italien/-c-est-scandaleux-d-avoir-deforme-mes-propos-_39209_a

il en rajoute une couche sur les Romains,il a pété les plombs et comme à chaque fois c'est détourné de son contexte.J'suis un fana de la fio et je peux vous dire que ça a trés mal pris par beaucoup de supporters.C'est honteux.

Foot - Bleus - Malouda : «Pas un pantin»



Florent Malouda vient de traverser une première partie de saison particulièrement obscure et compliquée. Blessé à maintes reprises - il doit être de retour dans le groupe de Chelsea ce week-end -, le milieu gauche des Blues a été écarté des Bleus par Raymond Domenech après un Euro difficile et une sortie médiatique remarquée. Dans une interview accordée à L'Equipe, le joueur dit assumer ses déclarations du mois de septembre, où il pointait le manque de soutien du sélectionneur.

«J'assume ce que j'ai dit. Après, j'ai eu droit à un petit traitement de faveur... C'est comme ça. Je ne me plains pas. Il y a un entraîneur. Il fait des choix. J'espère qu'il assumera. Moi, j'ai assumé.» Et en aucun cas, il regrette d'avoir vidé son sac. «Au contraire. Pour moi, depuis, ça va même mieux. Je lui ai dit ce que je pensais de lui. Ensuite, je l'ai dit publiquement. Je pense avoir agi comme je le devais. Après, il y a un prix à payer. Ça ne me dérange pas. Je commençais à être pas mal au niveau des sélections (il en compte 44), mais bon... (Il sourit.) Comme quoi, tu peux passer d'un statut de cadre, soi-disant, à celui de rien du tout, juste en fonction de tes
opinions. Maintenant, c'est clair.»

«Il a dû me prendre pour quelqu'un d'autre...»
Malouda faisait partie jusqu'à l'Euro des protégés de Domenech. Depuis, la rupture est consommée : «Quand j'ai parlé, j'ai dit ce que je pensais et, derrière, il y a eu tout ce que je viens de vous raconter, même si je ne dis pas tout. J'assume. Mais je ne suis pas un clown, ni un pantin. À un moment, il faut aussi respecter les individus. Il a dû me prendre pour quelqu'un d'autre... Mais je ne veux pas en dire plus. Je n'ai pas envie de parler de lui, ni avec lui. Il a tendance à se nourrir des conflits et moi, les conflits, ça ne me rapporte rien. J'ai pris acte.»

Toutefois, pas question pour lui de parler de retraite internationale. «De toute façon, ce n'est pas moi qui décide. Il paraît qu'il a le droit de refuser ça à un joueur. Comme il est tout puissant... (Il sourit.) Je ne vois pas quel intérêt.» Et d'en rajouter, avec une bonne dose d'ironie : «C'est lui le sélectionneur. Il n'y a ni punition, ni mise à l'écart, soi-disant... Mais, entre ce qu'il dit et ce qu'il fait, il y a un petit écart. »

Foot - Bleus - Trezeguet : «C'est terminé»



David Trezeguet continue à tanguer avec les Bleus. C'est l'évidence qui s'impose à la lecture des propos du buteur de la Juventus, reproduits lundi sur Francefootball.fr. Rappel des épisodes précédents : cet été, il avait annoncé à L'Equipe qu'il n'était plus disponible en équipe de France. Fin novembre, il se disait prêt à revenir «sans conditions», toujours dans L'Equipe, car les Bleus lui manquaient. A France Football, il assure aujourd'hui : «les Bleus, c'est bien terminé !»

«Pendant ma blessure, j'ai encore pris le temps de réfléchir, explique aujourd'hui celui qui pourrait revenir sur le banc de la Juve mercredi après quatre mois d'absence. J'ai analysé ces quatre années passées avec Domenech, ce qui s'est produit avant et après l'Euro. Je ne suis pas quelqu'un qui oublie les choses et qui change sa manière d'être et de penser. La FFF a décidé de continuer avec Domenech, tant pis pour elle! Je ne suis pas en harmonie avec le fonctionnement de l'équipe de France.» La dernière sélection de David Trezeguet remonte à mars 2008 contre l'Angleterre (1-0).

En tout cas, le joueur né en Argentine (photo L'Equipe) est enfin remis de sa blessure au genou. Opéré le 23 septembre, l'attaquant français participe à l'entraînement collectif depuis quelques jours et a grillé les étapes pour revenir le plus vite possible. Selon la presse turinoise, le buteur de la Vieille Dame pourrait être sur le banc mercredi soir pour faire face à l'Udinese Serie A.

autant j'adore Trézéguet comme joueur,autant Domenech et l'ensemble de la DTN,l'ont traité comme pas mal d'autres sans le moindre respect,autant là David...tu nous gaves,tous les 6 mois tu nous dis que c'est fini,ok on a compris,on est au bord des larmes...Faut arréter l'estoufade là,ça sert plus à rien.

Pharell13 a écrit:autant j'adore Trézéguet comme joueur,autant Domenech et l'ensemble de la DTN,l'ont traité comme pas mal d'autres sans le moindre respect,autant là David...tu nous gaves,tous les 6 mois tu nous dis que c'est fini,ok on a compris,on est au bord des larmes...Faut arréter l'estoufade là,ça sert plus à rien.

+10000
Tout pareil. Pourtant je le kiffe le Trezegoal. Mais là, il est lourd.

Foot - ITA - AS Rome - Menez, objectif les Bleus



Titulaire intermittent et déjà comparé à Lionel Messi. Les cinq premiers mois de Jérémy Menez à l'AS Rome épousent des courbes sinueuses. D'abord remplaçant au point qu'un possible retour en France sous forme de prêt a été évoqué, l'attaquant de 21 ans s'est depuis attiré les louanges de Francesco Totti, avant d'être freiné en début d'année par des problèmes musculaires. Il assure aujourd'hui «ne pas regretter du tout» d'avoir rejoint les Giallorossi. L'absence de pression à Monaco l'avait «peut-être installé dans un certain confort», un frein dans son objectif d'intégrer l'équipe de France. «C'est aussi pour ça que je pense avoir pris la bonne décision en rejoignant la Roma, nous a-t-il expliqué. Je n'ai pas peur de le dire. L'équipe de France, c'est mon objectif. Je suis venu ici pour ça». Un choix approuvé par le sélectionneur Raymond Domenech avec lequel il reconnaît avoir discuté. «Il m'a dit que c'était un bon choix pour moi, que j'allais travailler et que ça allait me faire progresser».

Des progrès, Jérémy Menez a déjà le sentiment d'en avoir faits en terme «de régularité». Avant ses pépins physiques, il restait sur de solides prestations appréciées par son entraîneur, Luciano Spalletti. Des prestations qui l'encouragent aussi à croire en une possible convocation pour le match amical des Bleus contre l'Argentine le 11 février prochain. «J'y pense, confesse-t-il. Avant les vacances, j'ai réalisé de bonnes performances. Malheureusement, je me suis blessé deux jours après la reprise, l'équipe a continué à bien tourner et désormais, il faut que je regagne ma place. C'est comme ça. Je relativise. Je n'oublie pas que si je suis venu ici, c'est pour franchir un palier, apprendre et travailler. En tout cas, je vise l'équipe de France à court terme». «Apprendre et travailler», le discours ressemble à celui que lui a tenu Raymond Domenech, preuve qu'il a bien retenu la leçon. Cette dialectique nouvelle correspond aussi à ce qu'il est venu chercher en Italie : «De la maturité».

Il reconnait son caractère difficile
A l'instar des Benzema, Nasri et Ben Arfa, Menez fait partie de la génération 1987. Une génération talentueuse, mais difficile à gérer, témoignait récemment l'ancien sélectionneur de l'équipe de France Espoirs, René Girard. L'attaquant ne veut pas parler au nom de ses anciens camarades de promotion, mais il admet que dans son cas, il n'a pas toujours eu une attitude appropriée. «Mon caractère, c'est mon plus gros défaut sur le terrain, souligne-t-il. Je sais que de temps en temps, je suis critiqué là-dessus, notamment par mes entraîneurs. Ce sont des erreurs de jeunesse, mais je suis en train d'apprendre. C'est vrai qu'on parle de nous comme une génération difficile, mais je ne pense pas qu'on soit des personnes mauvaises». Cinq ans après avoir conquis le titre de champion d'Europe des moins de 17 ans, la possibilité de voir les quatre joueurs de nouveau réunis en Bleu existe. «Je ne peux pas dire qu'à l'époque, on se doutait qu'on pourrait se retrouver à ce niveau-là, mais on savait déjà qu'on avait une belle équipe. Rejouer tous les quatre, ce serait beau». - Emery TAISNE

Pris sur Durex.

Le troisième est très très joli je trouve !

Pour la rencontre amicale du 11 février prochain, face à l'Argentine, au Stade Vélodrome de Marseille, Raymond Domenech a convoqué 21 joueurs. La surprise de cette sélection se nomme Cédric Carrasso. Le portier de Toulouse a été appelé aux côtés de Steve Mandanda et Hugo Lloris. Forfait de dernière minute avant l'Euro 2008 à cause d'une pubalgie tenace, Julien Escudé fait son retour avec les Bleus, au détriment de Jean-Alain Boumsong.

GARDIENS : Steve Mandanda, Hugo Lloris, Cédric Carrasso

DÉFENSEURS : Eric Abidal, Gaël Clichy, Julien Escudé, Rod Fanni, William Gallas, Philippe Mexès, Bacary Sagna, Sébastien Squillaci.

MILIEUX DE TERRAIN : Alou Diarra, Lassana Diarra, Jérémy Toulalan.

ATTAQUANTS : Nicolas Anelka, Karim Benzema, Jimmy Briand, Yoann Gourcuff, Thierry Henry, Samir Nasri, Franck Ribéry.

lequipe.Fr

ça fait plaisir pour cédric,grosse saison et en plus c'qui gache rien c'est un super mec