Rappel du premier message :
Fernandez, le parrain marseillais
Le coach de l'OM qui défie ce soir les martiens lyonnais fait du neuf avec de vieux complices. Atypique dans un monde souvent déshumanisé.
NANCY. Mickaël Pagis a donc rejoint l'Olympique de Marseille dans la soirée de lundi et comme il l'avait promis, Jean Fernandez l'alignera illico ce soir à Gerland pour le match vedette de cette 21e journée. Avec dans un petit coin de sa tête l'idée de refaire le même joli coup qu'avec Maoulida. Cet autre nouvel olympien avait quitté Monaco 48 heures avant de marquer pour le compte de la Coupe de France contre le Havre. C'était samedi. Une manière de fêter son baptême du feu avec le Vélodrome et ses turbulents supporters. Voilà des effets immédiats d'un mercato plutôt prometteurs qui rassasient un appétit démentiel de belles histoires même pas très orthodoxes pour le manuel de la parfaite préparation suivant l'entraîneur modèle. Car voilà aussi un résultat miraculeux, songez que Maoulida avait à peine effectué une mini séance avec ses nouveaux copains que déjà il se mettait en évidence. Inespéré ? Certes mais on connaît au moins un début d'explication : Toufilou n'était pas tout à fait en terre inconnue. Un homme lui a servi de parrain, un certain Jean Fernandez. Le coach alors Messin l'avait déjà relancé alors qu'il connaissait une grosse panne de confiance et de temps de jeu à Rennes. Quand les deux hommes ont refait cause commune, ils ont pu prendre un raccourci.
Fernandez l'emprunte souvent, il en raffole même. Songez que dans son effectif et dans un contexte fort éloigné de ses précédents ports d'attache Sochaux et Metz, il dirige aujourd'hui pas moins de cinq joueurs de ses anciennes écuries : Ribery, Oruma, Pagis, Niang, Maoulida, sans parler de Mendoza qu'il devait faire signer à Metz avant de le détourner, comme lui-même, vers Marseille. Un mode de fonctionnement atypique, pour un entraîneur qu'il l'est aussi même dans le contexte si compliqué d'un club pas comme les autres. D'ailleurs faut-il rappeler qu'ils sont rares également les entraîneurs passés deux fois par la même case (Courbis, Luis Fernandez, Muller, Antonetti...).
Il faut dire que la passion vue par Jean Fernandez le conduit à accomplir des milliers de kilomètres d'un stade à l'autre. L'homme est un véritable chercheur, un dénicheur de talent. C'est comme cela qu'il a découvert Franck Ribery, perdu à Boulogne-sur-Mer dans le championnat National. Depuis le nouveau prodige du football français le considère comme son père spirituel. Avec ce que cela sous-entend d'affection et de confiance mutuelle. Le secret des rapports privilégiés que le coach de l'OM entretient avec ses ouailles.
Samedi deux secondes après avoir marqué Maoulida s'est précipité vers le banc de touche pour enlacer Jean Fernandez. Séquence émotion. Ce soir Pagis rêve évidemment d'en faire autant comme au bon vieux temps où il enchantait Bonal.
source est-republicain
Maitre ,voilà ton frere!!!!! :lol: 8) ;)
Fernandez, le parrain marseillais
Le coach de l'OM qui défie ce soir les martiens lyonnais fait du neuf avec de vieux complices. Atypique dans un monde souvent déshumanisé.
NANCY. Mickaël Pagis a donc rejoint l'Olympique de Marseille dans la soirée de lundi et comme il l'avait promis, Jean Fernandez l'alignera illico ce soir à Gerland pour le match vedette de cette 21e journée. Avec dans un petit coin de sa tête l'idée de refaire le même joli coup qu'avec Maoulida. Cet autre nouvel olympien avait quitté Monaco 48 heures avant de marquer pour le compte de la Coupe de France contre le Havre. C'était samedi. Une manière de fêter son baptême du feu avec le Vélodrome et ses turbulents supporters. Voilà des effets immédiats d'un mercato plutôt prometteurs qui rassasient un appétit démentiel de belles histoires même pas très orthodoxes pour le manuel de la parfaite préparation suivant l'entraîneur modèle. Car voilà aussi un résultat miraculeux, songez que Maoulida avait à peine effectué une mini séance avec ses nouveaux copains que déjà il se mettait en évidence. Inespéré ? Certes mais on connaît au moins un début d'explication : Toufilou n'était pas tout à fait en terre inconnue. Un homme lui a servi de parrain, un certain Jean Fernandez. Le coach alors Messin l'avait déjà relancé alors qu'il connaissait une grosse panne de confiance et de temps de jeu à Rennes. Quand les deux hommes ont refait cause commune, ils ont pu prendre un raccourci.
Fernandez l'emprunte souvent, il en raffole même. Songez que dans son effectif et dans un contexte fort éloigné de ses précédents ports d'attache Sochaux et Metz, il dirige aujourd'hui pas moins de cinq joueurs de ses anciennes écuries : Ribery, Oruma, Pagis, Niang, Maoulida, sans parler de Mendoza qu'il devait faire signer à Metz avant de le détourner, comme lui-même, vers Marseille. Un mode de fonctionnement atypique, pour un entraîneur qu'il l'est aussi même dans le contexte si compliqué d'un club pas comme les autres. D'ailleurs faut-il rappeler qu'ils sont rares également les entraîneurs passés deux fois par la même case (Courbis, Luis Fernandez, Muller, Antonetti...).
Il faut dire que la passion vue par Jean Fernandez le conduit à accomplir des milliers de kilomètres d'un stade à l'autre. L'homme est un véritable chercheur, un dénicheur de talent. C'est comme cela qu'il a découvert Franck Ribery, perdu à Boulogne-sur-Mer dans le championnat National. Depuis le nouveau prodige du football français le considère comme son père spirituel. Avec ce que cela sous-entend d'affection et de confiance mutuelle. Le secret des rapports privilégiés que le coach de l'OM entretient avec ses ouailles.
Samedi deux secondes après avoir marqué Maoulida s'est précipité vers le banc de touche pour enlacer Jean Fernandez. Séquence émotion. Ce soir Pagis rêve évidemment d'en faire autant comme au bon vieux temps où il enchantait Bonal.
source est-republicain
Maitre ,voilà ton frere!!!!! :lol: 8) ;)