Basket - NBALes Lakers trois fois plus fortsLe sang-froid de Phil Jackson, la complémentarité des Lakers et la faillite offensive de l'axe meneur-pivot à Orlando. Rien à dire, L.A. était plus fort. Dixième titre NBA pour Phil Jackson et quatrième pour Kobe Bryant.(AFP)
Plus que jamais Maître ZenLe contraste entre Phil Jackson et Stan Van gundy était saisissant. Le premier, devenu dimanche l'entraîneur le plus titré (six fois avec les Bulls de Jordan, quatre fois avec les Lakers) ne cillait pas, quoi qu'il se passe, et se dévoilait pas, ou si peu.
«Ce gars a gagné 51 séries de play-offs, dites moi combien de coaches ont fait pareil ! On dit qu'il a gagné parce qu'il avait de grands joueurs avec lui mais quelle équipe a gagné un titre NBA sans un ou plusieurs grands joueurs ? Laquelle ? Aucune ! Regardez son palmarès, il n'y a rien d'autre à dire», a déclaré Van Gundy, qui coachait pour la première fois en finale. Rebaptisé
«maître de la panique» par shaquille O'Neal, le frère de Jeff Van Gundy, qui avait été battu... 4-1 avec les New York Knicks en finale en 1999, s'agitait et n'a pas hésité à se reprocher à voix haute d'avoir pris une mauvaise décision à la fin du match 4. Mais au moins a-t-il évité le
sweep (4-0), ce que n'avait pas réussi Brian Hill en 1995 lors de la première finale du Magic.
Des Lakers hiérarchisés et soudésPhil Jackson avait perdu sa première finale en 2004 avec Bryant, Malone, O'Neal et Payton. Il connaît donc l'importance de l'alchimie. «Avoir gagné un dixième titre de champion est certainement un accomplissement. Mais c'est l'aventure, le voyage jusqu'au titre qui est important, plus que le titre lui-même. C'était important pour moi, pour le staff, de voir ces jeunes gens se trouver, former une équipe solidaire», explique-t-il. Pour résumer, Lakers et Magic se reposaient essentiellement sur six joueurs. Mais là où les Ariza, Odom et autre Fisher servaient de relais efficaces aux Bryant et Gasol, l'arrivée de ce dernier en février 2008 ayant été la clé du retour de L.A. au premier plan, un joueur comme Mike Pietrus a trop souvent dû pallier la faiblesse dans les moments-clés de Dwight Howard ou d'un Rashard Lewis porté disparu dans le match 4. «Quand on pense à cette jeune équipe qui a traversé des moments difficiles en perdant en finale l'an passé, qui y est revenue et l'a gagnée en devenant bien meilleure défensivement, c'est comme un rêve», apprécie Kobe Bryant.
Une claque pour Dwight HowardDwight Howard et Jameer Nelson sont restés ensemble, côte à côte, lors de la remise du trophée. Derniers Magic encore présents, les deux All Stars ont dû parler d'avenir parce que le présent leur a échappés. Pour Howard, il s'agit d'une claque majuscule tant ses capacités athlétiques, encore visibles en défense (15,2 rebonds, 4 contres), ont été annihilées en attaque (15,4 points à 45%, 2,2 passes pour 4 balles perdues). L'abnégation défensive du trio Bynum-Gasol-Odom et les variations commandées par Jackson y sont pour beaucoup, mais l'absence d'un autre big man capable de marquer de près à Orlando et les errements au poste de meneur ont aussi eu leur importance. Rafer Alston n'a pas été au niveau, ou très rarement, et Nelson, le seul capable de trouver Howard en pénétration, était encore très affaibli. «Ils ont été meilleurs que nous, c'est tout. Nous avons eu beaucoup d'opportunités et nous les avons laissées passer», résume Hedo Turkoglu, pas sûr de rester en Floride pour des raisons salariales. Mais une défaite 4-1 avec deux revers en prolongation, cela laisse quand même de belles perspectives.
X. C. (avec AFP)
L.A!!! L.A!!! L.A!!! L.A!!!L.A!!!
Eh ouai mon DD dans le cul la baleyette Orlando
Non!normal à l'experience,c'était prévisible,les Lakers ont bien retenu la leçon de l'année derniére,Orlando super saison,mais qui découvrait et Van Gundy vraiment,vraiment j'accroche pas sa philosophie de jeu,ses systémes,sinon clair faiblesse à la méne,manque un autre bigman dans la raquette,mais bon bonne saison quand méme.Aprés par contre je voyais pas forcément LA s'imposer comme ça deux fois sur le parquet d'orlando,mais ya rien à redire.
Bien,bien plaisir pour Kobe,le King c'est lui,tous...tous...tous...aux states ils se sont palucher sur Lebron toute la saison,Lebron c'est le king,lebron c'est devenu meilleur que kobe AHAHAHAHAHAHAHAH qu'on arréte de me faire délirer Kobe 4 titres NBA bande de ramassis de caniveau,inclinez vous devant le boss,ya méme pas photo,il est en place,c'est le seul.4 titres respect,que James en gagne déja un.
Et puis la spéciale...Phil "Master Zen"Jackson...10 éme titre NBA totalement hallucinant,le plus grand,la grande classe.