L'OM invisible de l'atlantide a encore été frappé par Chikungunya (en visio conférence)
Un vaccin, ou plutôt une cure, tel est le remède pour cette maladie incurable dont je ne sais foutre rien, et voilà. Le titre ? Une boutade, ou plutôt une caguade dont mon esprit n'a que faire ces temps-ci. Le motif ? Aucun, si ce n'est un rendez vous hier soir dans la matinée, avec le tube cathodique, un miroir aux alouettes, ou un tube dentifrice dont on aurait perdu le bouchon, on ne sait que dire, elle est la, elle nous happe, on n'y peut rien, même nos femmes n'y peuvent rien, même la pizza n'y peut rien.
J'ai sortie ma plus belle paire de chaussons, mon unique pour tout dire, les pieds bien au chaud inside. La telecomande a ma droite, il s'allume, tout seul, comme par magie, lorsque j'appuie sur le bouton, moment de grâce, le cube stellaire nous envoûte, une lumière jaillit, enveloppe la pièce, l'OM est a l'échauffement, la bataille n'a pas encore commencé. Jour de foot, on s'en foot... Le résultat ? Tout le monde le connaît , la manière importe peu tant qu'il y'a la victoire au bout qu'on dit, on fera pas de grabuge c'est promis. Niang reçoit son trophée du « meilleur joueur de décembre » des mains du beau Franck, impensable et pourtant, certains murmurent déjà que le prochain Ballon D'or sera pour lui (Franck lui fait les yeux doux, Niang, timide, lui lâche un sourire). Mon poste ce fait frêle, il attend, et moi aussi, l'engagement, qui n'arrive pas de suite, Hervé Mathoux, dit « WafWaf » dans la profession, ce bas en duel avec son compère le dit présensateur de JDF, les deux sont a l'image, mais il n'y a pas assez de place dans le cadre pour eux, l'un a manifestement une plus grosse tête que l'autre, et une calvitie naissante (mais cela ne nous regarde pas).
Moment de vérité, Balbir est au garde à vous, Kaiser micro casque sur les oreilles, Paga part a la recherche de la nouvelle star, et comme toujours, il trouve, Habib Beye pour ce coup-ci, il a les crocs, et même une dent, et espérons le, un bon dentiste. Le Match commence enfin, enfin non, les joueurs sont dans le couloir, facecie de dernière minute, ils se font la bise, Maoulida prend dans ses bras Abardonado, l'embrasse, Niang a ses cotés, regarde le tout jalousement, il s'empresse a son tour de prendre dans ses bras un Nicois, peu importe lequel, tant que la détermination dans l'acte y est, c'est le fair-play dira-t-on plutard.
Le cube stellaire nous affiche alors la composition :
Barthez
Beye Meité Dehu Taiwo
Cana
Maoulida Nasri Ribery
Niang Pagis
Et enfin, l'engagement, le match, Marseille affronte sa voisine du sud, le Milan A-C du pauvre, pour une finale qui n'aura même pas droit au nom, les remakes sont toujours moins bons, on appellera ca, 28 ème journée de championnat, et patatras. C'est le coup d'envois, Balbir est chaud bouillant, il lance la manoeuvre...
1ere mi-temps :
[Mode vitesse démesurée]
L'OM domine sans réellement dominé. Le Milan AC manque de réalisme, par deux fois, Van Basten et Gullit manquent le coche. Abedi Pelé rate aussi par deux fois l'occasion de s'illustré. La coupe d'Europe aurait pu se jouer en première mi-temps, mais cela ne fut pas le cas...
[Mode vitesse démesurée/off]
C'est la mi-temps, les joueurs sont exténués, déjà, Niang tristesse l'oeil, va se faire réconforté dans les vestiaires par Maoulida, Abardonado (le Maldini du pauvre) n'étant pas disponible. Mais Albert Emon en décide autrement, Gimenez sera son seul compagnon pour l'occasion, Mamadou étant remplacé par Oruma..
Le cube nous télétransporte, le sponsor s'affiche, les agrumes sont de sortie, le football européen est a la fête. Paga continue ses recherches, moi aussi, trop paresseux pour changer de chaîne, la télécommande étant trop loin, une part de pizza se chargera de combler les trous, la sauce piquante de réchauffé une soirée bien froide, les chaussons sont en grève apparemment, Niang et moi avons sûrement les mêmes.
On prend les mêmes et on recommence, Balbir la bête, Franck la belle, 2eme mi-temps, le tout en ambiance :
[Mode vitesse lumière]
L'OM repart sur les chapeau de roues, déterminé et combatif, l'apport d'un nouvel élément au milieu de terrain n'est sûrement pas innocent a ce changement de visage. Le match devient clairement passionnant, le Milan souffre, le Milan redevient Nice, Marseille redevient l'OM, et le vélodrome redevient bouillonnant, la tenue des grands soirs est de sortie. Ribery en maître de manoeuvre devient de plus en plus intenable, ses percés se font des plus efficaces. Maoulida déborde passe en retrait pour Pagis, frappe au cadre, Gregorini s'interpose, ce n'est que partie remise. 65ème minute, Ribery perfore la defense sur son coté gauche, Nice tangue, Nice est a l'abordage, Nice chavire, Franck délivre une passe pour Pagis au premier poteau, Maoulida surgit tel Rudy Voller au second poteau, pour tiré angle opposé, et placé la balle au fond des filets. Maoulida (Gerrard Majax pour Canal), offre une speciale dédicace pour son entraineur, Fernandez, ce but était pour lui, il le lui dédie bandage a la main. Par la suite il marche sur les pieds du Pancho, sans faire exprès, il s'excuse, lui lâche un sourire, qu'Abardonado lui rend, Niang au loin sur le banc, envisage déjà la rupture. Le reste n'est qu'anecdote, un Cana imperial, un Deruda qui voit rouge, un Beye impressionant, pour parachevé une performance dont on n'attendait pas moins de la part de l'OM, champion d'Europe il fut un temps...
[Mode vitesse lumière/off]
La matrix continue a me distillé des images, mes yeux aveuglé par la victoire n'en auront que faire, l'heure se fait trop tard, c'est avec un peu de regret que je quitte Balbir et Franck, mes compagnons d'un soir...
PS : Mendoza et Koke on ne vous oublie pas non plus, cette victoire est aussi pour vous.
Sanjurouf.
Un vaccin, ou plutôt une cure, tel est le remède pour cette maladie incurable dont je ne sais foutre rien, et voilà. Le titre ? Une boutade, ou plutôt une caguade dont mon esprit n'a que faire ces temps-ci. Le motif ? Aucun, si ce n'est un rendez vous hier soir dans la matinée, avec le tube cathodique, un miroir aux alouettes, ou un tube dentifrice dont on aurait perdu le bouchon, on ne sait que dire, elle est la, elle nous happe, on n'y peut rien, même nos femmes n'y peuvent rien, même la pizza n'y peut rien.
J'ai sortie ma plus belle paire de chaussons, mon unique pour tout dire, les pieds bien au chaud inside. La telecomande a ma droite, il s'allume, tout seul, comme par magie, lorsque j'appuie sur le bouton, moment de grâce, le cube stellaire nous envoûte, une lumière jaillit, enveloppe la pièce, l'OM est a l'échauffement, la bataille n'a pas encore commencé. Jour de foot, on s'en foot... Le résultat ? Tout le monde le connaît , la manière importe peu tant qu'il y'a la victoire au bout qu'on dit, on fera pas de grabuge c'est promis. Niang reçoit son trophée du « meilleur joueur de décembre » des mains du beau Franck, impensable et pourtant, certains murmurent déjà que le prochain Ballon D'or sera pour lui (Franck lui fait les yeux doux, Niang, timide, lui lâche un sourire). Mon poste ce fait frêle, il attend, et moi aussi, l'engagement, qui n'arrive pas de suite, Hervé Mathoux, dit « WafWaf » dans la profession, ce bas en duel avec son compère le dit présensateur de JDF, les deux sont a l'image, mais il n'y a pas assez de place dans le cadre pour eux, l'un a manifestement une plus grosse tête que l'autre, et une calvitie naissante (mais cela ne nous regarde pas).
Moment de vérité, Balbir est au garde à vous, Kaiser micro casque sur les oreilles, Paga part a la recherche de la nouvelle star, et comme toujours, il trouve, Habib Beye pour ce coup-ci, il a les crocs, et même une dent, et espérons le, un bon dentiste. Le Match commence enfin, enfin non, les joueurs sont dans le couloir, facecie de dernière minute, ils se font la bise, Maoulida prend dans ses bras Abardonado, l'embrasse, Niang a ses cotés, regarde le tout jalousement, il s'empresse a son tour de prendre dans ses bras un Nicois, peu importe lequel, tant que la détermination dans l'acte y est, c'est le fair-play dira-t-on plutard.
Le cube stellaire nous affiche alors la composition :
Barthez
Beye Meité Dehu Taiwo
Cana
Maoulida Nasri Ribery
Niang Pagis
Et enfin, l'engagement, le match, Marseille affronte sa voisine du sud, le Milan A-C du pauvre, pour une finale qui n'aura même pas droit au nom, les remakes sont toujours moins bons, on appellera ca, 28 ème journée de championnat, et patatras. C'est le coup d'envois, Balbir est chaud bouillant, il lance la manoeuvre...
1ere mi-temps :
[Mode vitesse démesurée]
L'OM domine sans réellement dominé. Le Milan AC manque de réalisme, par deux fois, Van Basten et Gullit manquent le coche. Abedi Pelé rate aussi par deux fois l'occasion de s'illustré. La coupe d'Europe aurait pu se jouer en première mi-temps, mais cela ne fut pas le cas...
[Mode vitesse démesurée/off]
C'est la mi-temps, les joueurs sont exténués, déjà, Niang tristesse l'oeil, va se faire réconforté dans les vestiaires par Maoulida, Abardonado (le Maldini du pauvre) n'étant pas disponible. Mais Albert Emon en décide autrement, Gimenez sera son seul compagnon pour l'occasion, Mamadou étant remplacé par Oruma..
Le cube nous télétransporte, le sponsor s'affiche, les agrumes sont de sortie, le football européen est a la fête. Paga continue ses recherches, moi aussi, trop paresseux pour changer de chaîne, la télécommande étant trop loin, une part de pizza se chargera de combler les trous, la sauce piquante de réchauffé une soirée bien froide, les chaussons sont en grève apparemment, Niang et moi avons sûrement les mêmes.
On prend les mêmes et on recommence, Balbir la bête, Franck la belle, 2eme mi-temps, le tout en ambiance :
[Mode vitesse lumière]
L'OM repart sur les chapeau de roues, déterminé et combatif, l'apport d'un nouvel élément au milieu de terrain n'est sûrement pas innocent a ce changement de visage. Le match devient clairement passionnant, le Milan souffre, le Milan redevient Nice, Marseille redevient l'OM, et le vélodrome redevient bouillonnant, la tenue des grands soirs est de sortie. Ribery en maître de manoeuvre devient de plus en plus intenable, ses percés se font des plus efficaces. Maoulida déborde passe en retrait pour Pagis, frappe au cadre, Gregorini s'interpose, ce n'est que partie remise. 65ème minute, Ribery perfore la defense sur son coté gauche, Nice tangue, Nice est a l'abordage, Nice chavire, Franck délivre une passe pour Pagis au premier poteau, Maoulida surgit tel Rudy Voller au second poteau, pour tiré angle opposé, et placé la balle au fond des filets. Maoulida (Gerrard Majax pour Canal), offre une speciale dédicace pour son entraineur, Fernandez, ce but était pour lui, il le lui dédie bandage a la main. Par la suite il marche sur les pieds du Pancho, sans faire exprès, il s'excuse, lui lâche un sourire, qu'Abardonado lui rend, Niang au loin sur le banc, envisage déjà la rupture. Le reste n'est qu'anecdote, un Cana imperial, un Deruda qui voit rouge, un Beye impressionant, pour parachevé une performance dont on n'attendait pas moins de la part de l'OM, champion d'Europe il fut un temps...
[Mode vitesse lumière/off]
La matrix continue a me distillé des images, mes yeux aveuglé par la victoire n'en auront que faire, l'heure se fait trop tard, c'est avec un peu de regret que je quitte Balbir et Franck, mes compagnons d'un soir...
PS : Mendoza et Koke on ne vous oublie pas non plus, cette victoire est aussi pour vous.
Sanjurouf.
Dernière édition par le Mar 28 Fév - 0:42, édité 3 fois