par shura Ven 21 Nov - 15:45
KeKe a écrit:Ah je l'avais entendu dans les specialistes
C'est Penot ou Rousseau le journaliste ?
Erik Gerets n’a "pas besoin de prendre la fuite" (précisions)Erik Gerets a vivement réagi mardi devant la presse à l’article de L’Equipe paru la veille, avec le titre
« Gerets ne s’en remet pas » et le chapeau
« Désemparé par l’incapacité de ses joueurs à saisir son discours, l’entraîneur de l’OM s’est mis au vert durant trente-six heures ».« C’est une grave bêtise qui a fait le tour de France, et c’est totalement injuste », a commenté le technicien phocéen avant la reprise de l’entraînement à la Commanderie. « C’est faux. Si j’ai du partir, c’est pour des raisons privées. Je devais prendre un avion. Tout le monde au club, la direction comme les joueurs, était au courant ».
« Je me suis calmé, mais je suis assez frustré par ce qui a été écrit (…) Je n’ai pas besoin de prendre la fuite. Cela fait 30 ans que je regarde tout le monde en face, dans les yeux ».
Dominique Rousseau, auteur de l’article, a demandé que soit communiquée la précision suivante :Une mauvaise interprétation a été faite de mon article. Je n'ai pas écrit ou laissé penser qu'Eric Gerets avait pris la fuite de la Commanderie. Dimanche dernier au point presse, Eric Gerets a dit ceci: "« Je vais prendre un peu de recul pendant un jour et demi et charger la batterie." Dans mon article, j'ai relié cette déclaration au fait qu'il éprouvait le besoin de faire le point après la défaite contre Lorient. Je ne peux être tenu pour responsable de toute extrapolation faite par d'autres médias ou dans des talk show.L’OM prend acte de cette précision, mais souligne que le jour et demi de repos en question concernait l’ensemble de l’effectif olympien et du staff, et non le seul Erik Gerets. Comme c’est le cas chaque semaine, entre les matches.
Et, surtout, que ce repos n’a pas été décidé après la défaite contre Lorient. La presse en était informée dès la veille du match, via le programme des entraînements de la semaine communiqué hebdomadairement aux journalistes. Ce qui de notre point de vue ne laissait pas la place à une mauvaise interprétation des propos d’Erik Gerets indiquant, simplement, qu’il allait « charger la batterie ».